• Comédie de Saint-Etienne (première partie des Ballets Jazz Nat de Reney Deshauteurs) le 06/01/88, • MCC Saint-Etienne (Gala de la Mode) le 20/05/88, • Centre Glisse (défilé de mode de Lyon) le 28/05/88, • MCC Saint-Etienne (spectacle de danse) le 15/06/88, • Place Hôtel de Ville à Saint-Etienne les 21/06/88 et 14/07/88, • Chazelle sur Lyon (Festival de danse des Monts du Lyonnais) le 05/11/88, • Duerne (Festival de danse des Monts du Lyonnais) le 06/11/88, Bron (Rhône) le 17/12/88, • Salle Jeanne d'Arc le 15/03/89 (avec les Ballets Contemporain de Saint Etienne) et le 16/04/89 (spectacle de danse «Cocktail»), • Palais des Sports de Saint-Etienne (première partie de Claude Bolling et Guy Marchand) le 10/11/89, • Espace Baudelaire à Rillieux la Pape (Rhône) le 24/02/90, • Salle Jeanne d'Arc le 28/03/90, • NEC Saint-Priest en Jarez (première partie des Ballets Dance Ensemble de Géraldine Armstrong) le 24/04/90, • MCC Saint-Etienne le 09/05/90, • Comédie de Saint-Etienne (spectacle de mode Trophées de la Création) le 11/05/90, • Salle Jeanne d'Arc (avec la Compagnie l’Escale de David Finelli) le 19/01/91, • Salla Estense à Ferrare en ITALIE (avec la Compagnie Silvia Bottoni) le 16/03/91, • MCC Saint-Etienne (spectacles scolaires du Comité des Activités Nouvelles) les 13/06/91 et 14/06/91, • Le Lavandou dans le Var (Théâtre de verdure) le 28/07/91, • Opio (Alpes Maritimes) le 23/07/91, • La Ciotat (Bouches du Rhône) le 24/07/91, • Salle Jeanne d'Arc (avec la Compagnie Silvia Bottoni) le 19/10/91, • Monistrol sur Loire le 07/12/91, • La Garde (Var) le 24/07/92, • Saint-Raphaël (Var) le 28/07/92, • Cannes (Alpes Maritimes) le 29/07/92, • Le Lavandou (Var) le 30/07/92, • Saint-Etienne (avec la Compagnie l’Escale)...
CRÉATIONS CHORÉGRAPHIQUES DE CLAIRE SOULAS
(membre de la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques)
Confidences sur canapé, Détresse stress tendresse, Propulsion, Arachnoïde, Recto-verso, Symbiose,
Retour de flamme, Amazone, Rythmania, Histoire d'eux, Sapes Pristie, Quinte et sens, Accord lové, L'œil de la nuit, Perle de pluie, De passage, Rénitence.
“Le rythme est au cœur de la danse jazz, il agit comme une pulsation qui lui donne sa dynamique. Sous son impulsion, la création chorégraphique prend vie. La musique suggère à mes sens des images et des ambiances qui stimulent l’invention et guide la scénographie.
C’est alors que s’affine la mise en scène, prétexte à une gestuelle, au service de l’intention recherchée.
La chorégraphie peut alors devenir l’expression des émotions vécues dans diverses situations de la vie courante, à travers un scénario, ou bien la possibilité de donner aux danseurs les moyens de s’exprimer par la danse et pour la danse, en symbiose avec la musique, ses phrases, ses accents et ses couleurs.
Ma recherche permanente de l’harmonie entre la musique, l’esthétique, la technique et l’expression sensible des personnages ou s’entremêlent rêve et réalité, aboutit à un langage de la vie accessible à tous, qui invite le spectateur à entrer au cœur même de la danse.”
09/2007
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.DANSES JAZZ, Une poétique de la relation, Éliane Seguin
Apparues aux États-Unis, ouvertes à toutes les influences, les danses jazz portent depuis toujours les traits de la mixité. Se pencher sur le jazz, c'est observer un art du présent, ouvert à tous les mouvements possibles, hybride dans ses techniques, éclectique dans son inspiration, mélangeant les temps, les lieux, les espaces.
Sous-tendu par la question des échanges interculturels et du métissage, cet ouvrage mêle des approches historique et esthétique. Il propose un voyage à la découverte de contextes, d'artistes, d'œuvres susceptibles d'éclairer les cheminements du corps tout en donnant des repères. Il s'agit de considérer les imaginaires, les fantasmes et les projections qui alimentent les discours critiques portés sur celui-ci, sans oublier les codes qui définissent une appartenance, une manière de vivre et de sentir.
https://books.google.fr/books?id=h8NcDwAAQBAJ&pg=PA293&lpg=PA293&dq=reney+deshauteurs
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« On pourrait considérer que le modem jazz est un espace de partage et de décloisonnements identitaires. Il entre difficilement dans les catégories reçues de l’identité et son existence bouscule, comme celle du métis. »
« Les gens préfèrent le blanc et le noir, le bon et le mauvais, moi et l’Autre. On doit apprendre que nous sommes aussi l’Autre. La danse jazz n’appartient ni à un groupe ni à l’autre, ni noire ni blanche, tout en relevant des deux à la fois. Danse métisse, elle indique un espace, un mélange, une nouveauté que l’on ne peut pleinement nommer, sinon par ses origines desquelles précisément elle se départit. Transitoire, imparfait, inachevé, insatisfait, le jazz est toujours dans l’aventure, dans les transformations d’une activité de tissage et de tressage qui ne peut s’arrêter. »
« Danser jazz, ce serait découvrir la richesse de la multiplicité des cultures qui sont mélangées dans cet espace dansé où se côtoient des imaginaires, voire des conceptions de l’humanité a priori contradictoires, et où nul ne peut se prévaloir d’une conception qui puisse s’imposer à l’autre. La danse jazz ne peut être alors qu’une réalité mouvante en quête perpétuelle de repères et de stabilité. »
« Danser jazz aujourd’hui serait peut-être aussi entrer en résistance contre l’oppression et l’uniformisation croissante. »
« La danse jazz permet de se situer à la croisée des mondes et d’accéder au privilège d’appartenir à plusieurs mondes en une seule vie. »
Danses jazz, une poétique de la relation, Eliane Seguin
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RENEY DESHAUTEURS - RICK ODUMS - Interview 1983